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Welcome to Teacher Barbara's blog

You have reached the area of my website where I share ideas, thoughts, knowledge, experiences, etc., which range from a more academic point of view to reflections related to a trip, a book or music.

Sometimes, for work reasons, I don't have time to publish new posts, however, it is my wish to publish regularly.

I invite you to read the posts I have been publishing since I started this journey in the social networks.

I hope they are interesting to you!

The Tomorrow-Tamer: de la difficulté de traduire la culture

27/10/2014

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Chers amis,

Aujourd’hui j’aimerais vous parler de traduction et en particulier de comment traduire la culture présente dans un texte. Je le ferai en prenant comme exemple une nouvelle de Margaret Laurence, un écrivain canadien de langue anglaise, mais je le ferai en français puisque, quand je parle de traduction, je vais en arrière dans le temps, à l’époque où j’étais étudiante en traduction à l’Université de Genève, une ville que j’affectionne tout particulièrement.

Depuis Cicéron, la discussion autour de la traduction a été fondée sur la quête d'une équivalence linguistique. À la poursuite d'une fidélité impossible, le traducteur n'aurait qu'un choix : rapprocher le plus possible le texte traduit du texte original ou rechercher la lisibilité du texte dans la culture-cible, en essayant de donner l'impression du "naturel", comme si le texte original avait été écrit directement dans la langue d'arrivée. Cette vision de la traduction est bien simpliste et ne tient pas compte du fait culturel qui, dans son essence, résiste fortement à l'opération de traduction.

En fait, le fait culturel oppose une résistance à l'opération traduisante en raison de son ancrage dans une culture d'origine plus ou moins différente de la culture réceptrice. Il est donc nécessaire de considérer le traduire non plus comme un système de médiation entre deux langues, mais comme une manifestation de la complexe relation avec l'Autre.

Dans le cas de la nouvelle « The Tomorrow-Tamer », Margaret Laurence, auteur attachant, décrit en anglais une réalité africaine qu'elle a vécue au Ghana, elle est sensible notamment au rapport entre la nature et l'homme. Je vous laisse ici une interview faite à l’auteur en 1966. 

Le projet d'écriture de Margaret Lawrence se manifeste à travers des images, des termes fortement connotés culturellement, des figures de style, des proverbes et des métaphores. Elle est pour ainsi dire "traductrice", avant même d'être créatrice. Par conséquent, la nouvelle que le lecteur a en main est, dans sa version originale, déjà, une "traduction", et le défi posé au traducteur de ce texte n'en est que plus grand. De même que l'écrivain a un projet d'écriture, de même le traducteur doit avoir un projet de traduction.

En d'autres termes, il faut envisager le texte dans son ensemble, comme un discours, en essayant de repérer son mode de fonctionnement interne. Dans ces conditions, la langue n'est qu'un instrument de travail pour le traducteur ; l'opération traduisante consiste à faire que le texte traduit fonctionne en tant que texte, dans le système culturel où il s'inscrit.

Il ne faut donc pas que l'opération traduisante gomme l'étranger - qui se trouve dans la langue de départ - de sorte que le lecteur n'en retrouve plus trace dans la langue d'arrivée.

Fondamentalement le problème pratique du traducteur est celui de la langue vers laquelle il/elle traduit. Le français reste tout de même étranger à la culture sous-jacente à laquelle se réfère l'auteur. Comment traduire par exemple des termes tels que : Highland Queen whisky, De Reszke cigarettes ou encore Chivers Marmalade ?

Margaret Laurence a certainement voulu brosser un tableau pittoresque d'un peuple plein de vitalité confronté à l'étranger colonisateur et porteur de valeurs "bien différentes " pour ne pas dire exotiques. L’Afrique traditionnelle est très présente dans la nouvelle. Il y a une tentative de représentation de l’univers africain qui vient enrichir les thèmes abordés, une sagesse particulière dans tous les proverbes africains et il est extrêmement difficile de la faire passer quelle que soit la langue d'arrivée. 

Cette vitalité ressort de son modus scrivendi ainsi que du vocabulaire qu'elle utilise. La richesse de son lexique anglo-africain est immense. La fréquence des termes africains empruntés en anglais est très forte, comme par exemple : " kokonte ", " Doko-Doko ", " duiker ", " kente ", " okomfo ", " cocoyam ", etc.

ImagenSource: doullbooks.com
Dans le cas du Tomorrow-Tamer, la traduction sourcière donc ne se justifie pas à cause de toute la richesse du texte et des présupposés culturels qui agissent sur le processus de la réécriture traductive. A cet égard, le texte représente un cas de fossé culturel dans la mesure où l'auteur met en jeu des images, des mots typiquement africains ou des notions implicites qui n'ont pas d'équivalent dans l'espace culturel occidental. La vision du monde en Afrique, la conception du temps ainsi que les traditions ne peuvent être restituées dans une langue occidentale sans déformation. La distance culturelle entre le texte-source et le texte-cible se révèle immense, et les plages d'intraduisibilité linguistique découlent des plages d'intraduisibilité culturelle.

Il faut en conséquence envisager la traduction de la nouvelle de Margaret Laurence non pas en termes d'équivalence entre texte-source et texte-cible mais en termes de rapports entre culture-source et culture-cible, de déterminations socio-historiques, de chocs culturels, etc. Une telle approche de la traduction remet en question le concept même de fidélité.

Les problèmes traductionnels que pose le texte de Margaret Laurence sont donc multiples : lexicaux, sémantiques, culturels, syntaxiques. Prendre acte de la diversité non seulement des langues mais aussi, et surtout, des cultures, a montré l'importance - pour un traducteur - de connaître à fond la langue et la matière sur lesquelles il doit travailler ainsi que le public auquel il s'adresse, sans oublier de tenir compte de la vision du monde de ce public.

Par conséquent et pour conclure, pour qu'il puisse réaliser une bonne transposition, un traducteur doit posséder de nombreuses qualités car, dans l'opération traduisante, il n'y a pas que des mots qui sont en jeu. Il faut que le traducteur sache repérer les allusions et les sous-entendus dans un texte, qu'il sache analyser leur fonction et qu'il sache les rendre dans la langue d'arrivée de façon à ce qu'ils soient compris par le nouveau lecteur qui n'a pas la même connaissance de l'Autre que le traducteur.

A très bientôt avec un autre sujet de traduction…

Teacher Barbara


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Cuba entre magia y fantasía

21/10/2014

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Queridos amigos:

Con esta entrada, quiero empezar hoy una serie de blogs dedicados a mis viajes por varios países del mundo donde compartiré con vosotros mis experiencias e impresiones, la visión de una persona que ha tenido la curiosidad y el interés de ver y aprender la historia, cultura y costumbres de otros países.

En este primer viaje les llevaré a Cuba, una isla espléndida que he visitado ya 8 veces y que cada vez me deja algo nuevo. Es oportuno aclarar que no pretendo entrar en temas políticos, más bien quiero dirigir esta entrada a la cultura, música, idiosincrasia del pueblo cubano, a esa magia que emana de él.
Imagen
La Habana

Mi primer viaje a Cuba, hace más de 15 años, lo puedo describir como la llamada de una tierra lejana, que al mismo tiempo está tan cerca de mí por su cultura y música. Cuba despertó en mí la alegría de vivir, puso un rayo de sol en el gris de mi vida cuando la visité por primera vez y me hizo pensar en las cosas que a menudo nos olvidamos porque estamos muy ocupados con nuestras ambiciones. Es un país único, un sistema sin igual, muy lejos de nosotros, los europeos y muy lejos de cualquier otro sitio del mundo. Sin embargo, nos damos cuenta de que tal vez estas personas, aunque tengan inmensos problemas, enormes dificultades, tienen algo que nosotros ya no tenemos: la solidaridad, la sociabilidad, en pocas palabras tienen mucha más humanidad que la que podemos desear tener nosotros.

La isla es increíble, llena de magia y fantasía, llena de vida a pesar de las dificultades, los miedos, las incógnitas en un futuro más incierto que el destino mismo. Es inevitable, Cuba fascina y conquista, al igual que una leyenda antigua. Esa isla es la que Cristóbal Colón creyó ser las Indias.

Cuba es una tierra viva, una realidad compleja pero una isla exuberante. Su gente es cálida y tranquila como su mar, tiene playas de arena blanca como las de una postal, el paisaje natural es virgen y su verano es interminable; sus maravillosos monumentos resisten al tiempo, como su historia. El sol está en todas partes, imposible de encontrar manchas de sombra. Él vive en el alma del pueblo cubano, les acompaña durante todos sus días de penurias y privaciones. Los ilumina con una alegría indescriptible, pero palpable.

Aun cuando las dificultades económicas parecen eternas, los cubanos se resisten a cambiar su forma de ser y su idiosincrasia. Esas condiciones tan difíciles de vida no han alterado su carácter amable y espontáneo, apasionado y curioso, que nunca pierde su dignidad y buen humor. Cuba es todo esto y mucho más, es como el fruto prohibido del Caribe, tan imposible de describir pero fácil de saborear.

La música es, sin duda, el alma de este país; está en todas partes, en los hogares, en las calles, en los restaurantes, en el corazón de las personas. Lleva alegría a cada rincón de la isla e incluso es utilizada para levantar el estado de ánimo, superar las dificultades del día a día y ver el lado positivo de la vida. Como diría Fernando Ortiz, etnólogo, antropólogo, jurista, arqueólogo, periodista y estudioso habanero de las raíces histórico-culturales afrocubanas: “otro don de Cuba al mundo ha sido y es su música popular. Engendro de negros y blancos; producto mulato”.

Desde mi infancia me he sentido atraída por la música cubana, seguramente influenciada por mi padre, apasionado desde siempre por los boleros cubanos, fiel seguidor de César Portillo de la Luz, fundador del “filin cubano” (del inglés feeling), que apareció en la música popular cubana en la década del 40. Su canción favorita era y es “Contigo en la distancia”. Aquí tenéis la versión original cantada por el mismo Portillo de la Luz.


En mi primera visita a Cuba, no pude contener los deseos irresistibles de conocer e incluso de sentirme parte de esa tradición musical. De allí mis siguientes viajes sobre todo a Santiago de Cuba para empaparme del son que, por su ritmo y sus letras de extraordinario valor folklórico, es el género musical cubano de mayor permanencia y, en los largos momentos de su melodía, de mayor resonancia mundial. 

Recibí clases de “tumbadora”, aprendí a tocar boleros y mozambique (un ritmo afro-cubano) y todo lo que mi mano de mujer me permitía tocar en la percusión. En Santiago de Cuba conocí a Eliades Ochoa, guitarrista, cantante y compositor, calificado como uno de los más importantes soneros cubanos de todos los tiempos y gran defensor de la música tradicional cubana.

Podría seguir hablando de Cuba interminablemente, de su belleza, de su música o de su pueblo. Me limitaré a decir que Cuba es la prefiguración de una sociedad ideal: aquí todas las razas y las culturas se han mezclado entre ellas sin negarse ni pisotearse y llegando a crear nuevos perfiles de identidad.
Imagen
Santiago de Cuba

Es un país que siempre permanecerá en mi corazón. Me ha dejado cultura, ha acentuado mi pasión por la música, me ha dado una familia.

Si todavía no lo habéis hecho, ¡¡¡os invito a visitar esta isla!!!

Hasta pronto, con otro país y otro viaje por el mundo.

Teacher Barbara
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Factores que intervienen en la comunicación intercultural

13/10/2014

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Queridos amigos:

Hoy quiero hablar de comunicación intercultural, un tema que ha suscitado siempre mi interés. Normalmente, cuando nos comunicamos con nuestra propia lengua y con alguien de nuestra propia cultura, no somos demasiado conscientes del proceso de comunicación. Se podría decir que habitualmente actuamos como con piloto automático. Sin embargo, en la comunicación intercultural solemos ser mucho más conscientes de los diferentes elementos del proceso de comunicación, quizás por las dificultades que son propias de la comunicación intercultural. ¿Pero por qué tantas dificultades para entendernos cuando no somos de la misma cultura?

En efecto, en cada cultura los sistemas de “signos”, para usar un término tomado prestado de la semiótica (la ciencia de los signos, la disciplina que estudia la estructura de la comunicación y de la significación) que usamos no son dados por casualidad. Son un desarrollo de nuestra cultura y por consiguiente conllevan significados culturales y valores propios. Forman la conciencia de los individuos, convirtiéndonos en seres sociales.  

Muchas culturas, por ejemplo, no apreciarán el mismo humor y las mismas bromas. Por lo tanto, tenemos que pensar cuidadosamente lo que podemos dar a entender con nuestras palabras y procurar siempre no ofender a nadie. Incluso los gestos cambian de una cultura a otra. Reírse, para dar sólo un ejemplo, es connotado en la mayoría de los países con la felicidad, mientras que en Japón es a menudo un signo de confusión, de inseguridad y de vergüenza.


Imagen
Fuente: transenter.com

Con lo cual, en línea con el pensamiento de Tullio De Mauro, semiótico italiano, podemos afirmar que el significado no proviene de las virtudes contenidas en las palabras, frases y todas las demás formas lingüísticas, sino de los contenidos que los hombres deciden introducirles. Por ejemplo, por “cultura” no podemos entender únicamente la posesión de conocimientos, como quien escribió el 5 Maggio (célebre oda de Alessandro Manzoni) o bien el conjunto de las instituciones (las escuelas, la justicia, las distintas religiones, etc.) que se dan en una sociedad en un determinado momento; también son cultura la economía, el arte, la ciencia…pero también lo son las costumbres, los hábitos, el ser consciente de nuestros derechos y deberes, así como la producción de objetos, su uso, sus transformaciones, sus intercambios, las relaciones de parentesco, y también la forma de caminar, de comer, de recibir a los invitados.

En consecuencia, la experiencia de vida de cada persona, de cada pueblo es la que moldea su identidad y el conocimiento de los demás implica ponerse en el lugar del otro y comprenderlo en función de sus razones y valores.

Puesto que los códigos que usamos se localizan dentro de culturas específicas, nos damos cuenta que para establecer una comunicación intercultural hace falta un mínimo de conocimiento del otro. En primer lugar, tiene que haber una lengua común para que nos entendamos y luego tenemos que conocer más la cultura del otro.

La comunicación intercultural nos hace entender cada día más que no se trata sólo de un intercambio de mensajes. Es, sobre todo, una construcción de sentido. No hay que olvidar que la imagen, que casi todos tenemos de las otras culturas y pueblos, pasa por la imagen que transmiten los medios de comunicación que no siempre es la correcta. Una comunicación perfecta, incluso entre interlocutores de la misma cultura, es realmente muy difícil.

La comunicación entonces se entiende como una invitación a entrar en el proceso de diálogo con el otro, como método para aprender a relativizar las tradiciones consolidadas como propias dentro de cada cultura y, ante todo, para poner en tensión, su conservación y transformación, para posibilitar el conocimiento de la cultura propia y de otras culturas. Tzvetan Tódorov, lingüista, filósofo, historiador, crítico y teórico literario de expresión y nacionalidad francesa, afirmó que la cultura sólo puede evolucionar a partir de los contactos interculturales. Es decir, que lo intercultural es la base de lo cultural.

Dicho esto, para entendernos debemos superar los estereotipos y sobretodo obligarnos a buscar interpretaciones alternativas a las de los lugares comunes. Éste es uno de los retos de la comunicación intercultural: nos obliga a cambiar y nos obliga a trabajar con puntos de vista alternativos. Por ejemplo, tenemos que ser capaces de explicar lo que queremos decir cuando decimos algo, porque no podemos dar por sentado que nuestro interlocutor va a interpretar nuestro mensaje de acuerdo con el sentido que le damos.

En conclusión, como decía Mijaíl Mijáilovich Bajtín, filósofo del lenguaje de la ex Unión Soviética, toda comunicación verbal es una práctica social, una interacción en donde juegan opiniones, actitudes, puntos de vista. Debemos hacer que los contactos entre culturas, que han sido durante demasiado tiempo un espacio de confrontación, se conviertan en un espacio de negociación.

¿Estáis de acuerdo? Os invito a dejar vuestros comentarios.

Teacher Barbara

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Understanding the English

6/10/2014

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Dear friends,

Today the subject I deal with is communication, language and cultural differences.

Students of English generally spend a lot of time and money learning the language. They sit exams to obtain certificates saying that their English if of a certain level. However, when they travel to the UK or any other English-speaking country to work, study or simply for tourism, they often realize that they are far less capable of communicating in English as their certificates would suggest.

What’s the main reason for this? There are perhaps two: pronunciation and cultural difference.

British English has always been, and continues to be, a language of dialects. Wherever one goes to England or elsewhere in Britain, there are very obvious differences between the ways in which people speak in different places. It is so with the words used, with the grammar or the way in which words are organized and very noticeably with pronunciation. You may find many differences among Southern Welsh and Scottish, as well as the accents from West Midlands, Lancashire, Yorkshire, Scottish Highlands, Glasgow, Northern Ireland etc. 

For instance, a very special accent from London is “Cockney” and, like any such local accent, is associated with working-class origins. A feature of Cockney speech is rhyming slang, in which, for example, “wife” is referred to as “trouble and strife”, and “stairs” as “apples and pears” (usually shortened to “apples”). Some rhyming slang has passed into general informal British usage; some examples are “use your loaf”, which means “think” (from loaf of bread= “head”) and “have a butcher’s”, which means “have a look” (from “butcher’s hook”= “look”).

Nearly everybody has a spoken accent that identifies them as coming from a particular city or region. Please have a look at this video. It’s a good listening exercise on different accents in the UK and it’s really very funny:

Therefore, for starters, accent is a key cultural difference that affects communication. When there is a strong accent involved, some words are incomprehensible to the other party and therefore important information is left unheard. This can be confusing if you have only been exposed to Standard English pronunciation. Anyway, Standard English is definitely a good starting point! Then, exposing oneself to as many accents as possible would be the second step.

Hence, you can improve your pronunciation and intonation thanks to the Internet where you can find lots of resources but when it comes to cultural values, then real life experiences are the only ways to learn. For example, English culture dominates the cultures of the other three nations of the British Isles (Scotland, Northern Ireland and Wales). Everyday habits, attitudes and values among the peoples of the four nations are very similar. However, they are not identical, and what is often regarded as typically British may in fact be only typically English.

Sometimes advanced students spend a long period in the UK and still don’t understand British people. The British, like the people of every country, tend to be attributed with certain characteristics which are supposedly typical. It is said they are usually indirect and polite people. If for instance someone says: “the concert was quite good”, they probably mean it was excellent! This means that sometimes the language is used to hide real feelings, it becomes then ambiguous. Think of sentences such as “Tell me if I’m wrong, but...” would actually mean “I know I’m right” or “I am a bit disappointed” which means “I am really annoyed”. This may be a problem when students come from different cultures.

So, don’t forget that language is the key to a country’s self-identity. It enables their people to express emotions, share feelings, tell stories, and convey complex messages and knowledge.

In 16th century, Montaigne said, "The most universal quality is diversity." Given that diversity abounds, the project of understanding each other is both daunting and important. It is a journey never finished, because the process and the endpoints change constantly.

Leave your comments if you wish.

Teacher Barbara

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    BARBARA CORDOVA

    Soy traductora, intérprete, lingüista, profesora y apasionada por la música
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