Teacher Barbara Language Coach English-French-Italian
  • HOME
  • ENGLISH COURSES
    • GENERAL ENGLISH COURSES
    • CAMBRIDGE EXAM PREPARATION COURSES
    • ENGLISH FOR PROFESSIONALS
    • ENGLISH FOR BUSINESS
    • ENGLISH FOR COMPANIES
    • ENGLISH FOR CHILDREN
    • ONLINE ENGLISH COURSES – SKYPE
  • FRENCH COURSE
    • GENERAL FRENCH COURSES
    • DELF DALF EXAM PREPARATION COURSES
    • FRENCH FOR PROFESSIONALS
    • FRENCH FOR COMPANIES
    • FRENCH FOR CHILDREN
    • ONLINE FRENCH COURSES - SKYPE
  • ITALIAN COURSES
    • CELI EXAM PREPARATION COURSES
    • GENERAL ITALIAN COURSES
  • TRANSLATIONS
  • TESTIMONIALS
  • ABOUT ME
    • TEACHING APPROACHES
    • TERMS AND CONDITIONS
    • LEGAL
  • Blog
English Spanish

Welcome to Teacher Barbara's blog

You have reached the area of my website where I share ideas, thoughts, knowledge, experiences, etc., which range from a more academic point of view to reflections related to a trip, a book or music.

Sometimes, for work reasons, I don't have time to publish new posts, however, it is my wish to publish regularly.

I invite you to read the posts I have been publishing since I started this journey in the social networks.

I hope they are interesting to you!

Humanitarian Translation: What Is All About?

30/4/2015

0 Comments

 
Dear friends,

As this month I devoted almost all my posts to translation, today I will speak of humanitarian translation.

Perhaps we think of translation as something related to books or texts and which is always paid, but there are small ventures in Europe which have been involved for years in translation and interpreting without the objective of financial gain. These organisations make an important contribution to the humanitarian culture and to promoting this profession as an activity not always associated with making a profit. In this sense humanitarian translation distinguishes from translation because it encompasses a much larger spectrum of activity.

Humanitarian organizations are often self-financed, composed mainly of private donations from individuals or coming from fundraising activities.

There is constant involvement, as expected, from the countries which have suffered the consequences of long wars or serious natural disasters, whose economies are severely behind those of the developed countries, where poverty and mortality rates are very high and education level is very low.

Basically, almost all the people with whom the humanitarian workers come into contact don’t speak any language other than that with which they were born and raised. Therefore, it is very difficult to find qualified translators or interpreters who speak the local language and who are available to work on site.

An example of humanitarian translation is the non-profit organisation Translators without Borders or Traducteurs sans Frontières which was founded in Paris in 1993, from within a translation agency which had been operating since 1986.

This association was created from the will to lend a logistic support to the humanitarian organisations through offers of voluntary – and therefore free – translation services.

The agency's first contact with the field of humanitarian translation came in the early 1990s, when it received a request of a paid translation service on behalf of the Paris base of “Doctors without borders”.

One of the most interesting aspects of the work of Translators without Borders is surely that which is dedicated to the witness reports, or first-hand testimonies, collected on site by the workers of the various humanitarian organisations. It generally deals with very strong themes which recount difficult stories in the context of war and destruction. 
teacherbarbara.comSource: lexis.pro
Testimonies are, therefore, a vital component in the practice of translating as a means of denouncing any form of torture, persecution and inhumane treatment as well as occupying a supervisory role until the international convention is respected.

The importance of the figure of translators in relation to this reality depends precisely on the need of such messages, testimonies and information reaching the public, sparking a reaction and bringing them closer to the organisation.

They are one of the most effective examples of humanitarian translation, if one thinks also of the effect that these ordeals create in the readers and how they really manage to catch and mobilise the public attention. Nevertheless, it is an area of translation which, up to now, has featured very little, and this returns constantly to the absolute importance of work of the humanitarian organisations – a large part voluntary – and the effects of the lack of profit.

Despite the subject matter, I can say that translators find the work gratifying! They feel proud of themselves. They work for countries that have seen the worst human and environmental disasters. It is enriching for them.

I think we should all collaborate to make a better world and to help people in need.

Teacher Barbara
0 Comments

Ecueils de la traduction au cinéma : les sous-titres et le rôle du traducteur-adaptateur.

22/4/2015

0 Comments

 
Chers amis,

Aujourd’hui nous parlerons de traduction, sous-titres et cinéma.

Depuis le jour où le cinéma a commencé à "parler", l'importance d'avoir un texte clair et compréhensible pour le public est devenu une réalité et la nécessité de traduire ce texte un must. En d'autres termes, il a paru tout de suite évident qu'une sorte de transposition des films de la langue de départ à la langue d'arrivée était nécessaire pour que le spectateur puisse comprendre le contenu du film, au-delà de l'image: d'où la naissance de la traduction cinématographique.

Dès le début, les deux techniques utilisées pour faire passer les films d'une langue à une autre furent le sous-titrage et le doublage. Dans les deux cas, il s'agissait d'effectuer une transposition linguistique comportant diverses implications : le passage d'une structure linguistique à une autre, le passage d'un code oral à un code écrit ainsi que celui d'une culture à une autre.

Nous comprenons donc les difficultés auxquelles doivent faire face les traducteurs lorsqu'ils sont obligés d'appliquer leurs connaissances et leurs pratiques traductives à une matière aussi complexe dont les composants ne s'adressent pas seulement à un aspect des capacités perceptives humaines, dans le cas d'espèce, la vue et l’ouïe, mais incluent également des aspects verbaux et non verbaux incompréhensibles par une simple analyse littérale.

Au-delà des problèmes techniques et purement pratiques liés à la réalisation des sous-titres, ce qui nous intéresse le plus est le travail du traducteur-adaptateur dont la tâche est de rendre, sous forme écrite, le film accessible au public en essayant de garder au maximum son contenu et en produisant les mêmes effets que le texte original.

Facile à dire mais pas à faire. En effet, pour arriver à ce résultat, il faut surmonter deux difficultés de base : l'espace restreint dont on dispose (nombre de signes) et le type de transposition linguistique à effectuer. Cette dernière opération ne pose pas simplement les problèmes traditionnels liés au passage d'une langue à une autre ; elle est bien plus difficile car le traducteur doit opérer une vraie conversion du texte de la forme orale à la forme écrite. 
teacherbarbara.comSource: ahbon.free.fr
Compte tenu de ce que nous venons de dire, pour qu'il soit possible d'arriver à un résultat satisfaisant, il est important de ne pas oublier les aspects qui caractérisent le langage oral et le langage écrit et, à partir de cela, opérer les transformations nécessaires pour transmettre de manière optimale le dialogue original.

Loin d'être complètement exhaustifs, les sous-titres obligent le public à faire constamment référence aux voix de la bande-son originale, aux variations d'intonations et aux images pour saisir la signification des mots qui sont imprimés sur l'écran. Il est souvent impossible d'exprimer sous forme écrite tous les effets fonctionnels (communicatifs) des composants du langage non verbal. Dans l’œuvre originale le texte parlé est étroitement lié aux images ; dans la traduction effectuée en vue du sous-titrage, il faut prendre en compte le fait que les sous-titres doivent correspondre d'un côté à l'image (scènes, faits et gestes, communications non verbales) et, de l'autre, à la communication non verbale (ton de la voix, emphase, etc.).

C'est pour cela que le processus de traduction des sous-titres se base sur les choix que le traducteur-adaptateur doit effectuer pour décider ce qu'il faut traduire et ce qui peut être passé sous silence sans risquer de mettre en cause la compréhension du texte et sans altérer les informations contenues dans l'original.

Evidemment il n’existe pas de règles avérées qui établissent les stratégies à suivre pour produire de bons sous-titres ; il faut à chaque fois s'adapter au contexte ou aux exigences spécifiques du public auquel les sous-titres sont destinés. Quoi qu'il en soit, il est clair que le type de traduction à effectuer pour les sous-titres est de nature " oblique " dans la mesure où il s'agit de passer d'un message émis sous forme orale dans la langue de départ à un texte écrit dans la langue d'arrivée.

Sans vouloir confiner la traduction des films dans des schémas prédéterminés, nous pouvons définir le processus de création des sous-titres comme le résultat de trois opérations complémentaires :
  1. traduction du texte cinématographique et de tous les codes évoqués plus haut, qui ne se limitent pas aux aspects verbaux du langage ;
  2. conversion d'un texte présenté sous une forme orale en un texte présenté sous une forme écrite ;
  3. adaptation-réduction du texte suivant les contraintes techniques imposées par le film.

" La traduction doit être production et non reproduction " (selon une définition d'Henri Meschonnic), affirmation qui se révèle encore plus vraie si nous faisons référence au champ cinématographique.

Dans ce contexte plus que dans d'autres, il est impossible d'opérer un transcodage du texte d'une langue dans une autre ; on ne peut pas traduire les dialogues originaux par des équivalents dans la langue d'arrivée. Il est nécessaire de concentrer tout le pouvoir communicatif des divers codes utilisés dans le film en quelques lignes, le texte-cible puisant toute sa force dans l'expressivité des mots qui apparaissent sur l'écran.

En d'autres termes, le traducteur-adaptateur est obligé de faire une sélection sévère des éléments communicatifs et de choisir le moindre mal en distinguant les éléments textuels fonctionnels de ceux qui sont accessoires. La restitution du message doit être le pivot autour duquel tourne le travail du traducteur ; le message entendu constitue l'unité minimale sur laquelle porte l'opération traductive.

Traduire, dans ce contexte précis, signifie remplacer un message, ou une partie de celui-ci, énoncé dans une langue déterminée, par un autre message équivalent énoncé dans une autre langue et à travers un autre canal, c'est-à-dire passer du langage oral au langage écrit. Cette compréhension du sens textuel suppose, de la part du traducteur, une compétence globale, linguistique et extralinguistique. 
teacherbarbara.comSource: aspen-trad.com
En outre, la bonne connaissance de la langue de départ et la maîtrise de celle d'arrivée, auxquelles s'ajoute un certain savoir encyclopédique, ouvrent l'accès au sens original. Exprimer ce sens équivaut à le formuler de la façon la plus pertinente en fonction des idées communiquées et non des mots prononcés. Le traducteur est comme un "auteur en second" disait-il Lederer: sa tâche est celle de garder le sens et l'effet de l'original en adoptant la même procédure que l' "auteur premier", lequel construit la phrase de façon à exprimer sa propre pensée tout en choisissant la forme phrastique la plus adaptée. De la même manière, donc, le traducteur reproduit le contenu " à l'identique " en choisissant une autre forme respectant l'usage de la langue d'arrivée et équivalente à celle de l'original.

Dans le cas du sous-titrage, en particulier, le travail du traducteur vise la précision des choix lexicaux dans la langue d'arrivée de manière à exprimer tout ce qui est derrière le processus communicatif de départ en un minimum d'espace et de temps, en laissant intacts, autant que faire se peut, la fonction et l'effet voulus par l'auteur de l'original. Ceci explique la grande fréquence des traductions littérales dans les sous-titres, qui doivent non seulement être simples et immédiats pour permettre au public de lire et de comprendre rapidement, mais aussi être très riches en signification afin de pouvoir produire l'effet désiré sur le spectateur qui écoute le film en langue originale.

Dans ce post nous avons tenté de traiter les aspects et les difficultés relatives à la traduction au cinéma, en nous intéressant particulièrement aux sous-titres. Prendre acte de la diversité non seulement des langues mais aussi, et surtout, des cultures, nous a montré l'importance - pour un traducteur - de connaître à fond la langue et la matière sur lesquelles il doit travailler ainsi que le public auquel il s'adresse, sans oublier de tenir compte de la vision du monde de ce public.

Nous en avons déduit, par conséquent, que, pour qu'il puisse réaliser une bonne transposition, un traducteur doit posséder de nombreuses qualités car, dans l'opération traduisante, il n'y a pas que des mots qui sont en jeu : il s'agit de transférer d'une langue à une autre une grande quantité d'allusions qui vont au-delà des connaissances et des équivalences linguistiques. Tout cela, naturellement, est encore plus vrai quand le domaine à l'intérieur duquel opère le traducteur est aussi circonscrit et aussi parsemé d'embûches que celui des sous-titres ; l'habileté du traducteur se mesure à sa capacité à condenser en peu de lignes le dit et le non-dit, l'explicite et l'implicite du discours oral.

A la lumière de ces idées, notre traducteur-adaptateur devra donc utiliser toutes les ressources qu'il possède pour rendre son travail efficace en termes de compréhension et conforme aux exigences du canal de transmission en question, le cinéma, dont l'accès doit être permis à un public très hétérogène.

Cependant, s'il est vrai que le traducteur est toujours capable de trouver une solution satisfaisante aux problèmes traductifs auxquels il est confronté, la traduction en vue du sous-titrage n'arrive pas toujours à transmettre au public récepteur le même esprit et les mêmes intentions que la version originale. Un exemple très éloquent est le film La vita è bella de Roberto Benigni. La version originale et la version sous-titrée sont sans commune mesure.

Le texte imprimé sur le grand écran ne pourra jamais reproduire la charge émotionnelle qui anime tout le film, les variations de ton et les gestes qui constituent le support aux dialogues des acteurs ni l'accent dans la langue de départ. Bien qu'ils ne soient pas toujours indispensables pour la compréhension, tous ces détails sont les composants essentiels d'un film.

À tout bientôt. 

Teacher Barbara
0 Comments

Indian Ink: dimensiones lingüísticas y culturales del diálogo dramático.

16/4/2015

0 Comments

 
Queridos amigos,

Hoy os quiero hablar de traducción, especialidad a la cual he dedicado gran parte de mi vida, particularizando en la traducción teatral.

Como sabe cualquier traductor, la traducción nunca ocurre en un vacío donde se supone que los idiomas se encuentran sino en el contexto de la tradición de todas las literaturas. En dicho contexto está el punto de unión entre traductores y escritores. Así que los traductores fungimos como mediadores entre las tradiciones literarias, entre las culturas.

Esto significa que cada traducción es una traducción cultural. El texto es mucho más que una serie de palabras, ya que tiene implícitas dimensiones ideológicas, etnológicas y culturales. No se puede traducir simplemente en su aspecto lingüístico; es preciso, más bien, confrontar y comunicar culturas y situaciones de enunciación heterogéneas, que se hallan separadas por el espacio y el tiempo.
teacherbarbara.comFuente: clivejames.com
Para ahondar en ese tema, he elegido Indian Ink, una obra de teatro de Tomas Stoppard, considerado uno de los dramaturgos ingleses, aunque de origen checo, más importantes del siglo XX.

Es interesante saber que el propio Stoppard, además de ser dramaturgo, tradujo “a su manera” varias piezas teatrales en inglés, piezas de Slawomir Mrozek, Federico García Lorca, Arthur Schnitzler y de Johann Nestroy sin ser muy competente en los idiomas interesados. ¡Increíble pero verdadero!

De sus obras deslumbra y asombra el barniz brillante y espectacular que el autor aplica al uso del lenguaje y la técnica escénica. Incluso siendo el inglés su segunda lengua, Stoppard es uno de los más finos experimentadores teatrales de nuestros días, haciendo el centro de sus dramas un particular juego lingüístico con citas constantes de los clásicos y una especie de juego entre los varios significados de las palabras.

Sus temas, formatos y personajes comparten un claro interés: la investigación – siempre lúdica, siempre teatral – de las cuestiones más candentes (el individuo como víctima, la autorreferencialidad, lo paródico, la respuesta frente a la tradición, la especificidad de la escritura, la relación lenguaje-pensamiento, la relatividad de lo ético, el compromiso social del artista) que han prendido la atención del arte contemporáneo.
teacherbarbara.comFuente: blog.roundabouttheatre.org
La escena de Indian Ink tiene lugar en dos continentes y en dos periodos, en 1930 en la India durante la lucha por la independencia nacional del colonialismo inglés y a mediados de los años 1980 en Inglaterra y nuevamente en la India. No existe demarcación de tiempo ni de lugar y los varios personajes están presentes simultáneamente en la escena. 

teacherbarbara.comFuente: nyt.com
Os dejo un resumen de la historia. Los protagonistas son los siguientes: Flora Crewe, una poetisa inglesa que se encuentra en la India para una serie de conferencias, y estando en la ciudad de Jummapur, mientras escribe poemas y cartas para su hermana, se hace hacer un retrato por un artista indio, Nirad Das; el crítico literario americano Eldon Pike que se encuentra en Inglaterra juntando información para la edición de Collected Letters of Flora Crew y su biografía. Durante su investigación, entrevista en su casa de Inglaterra, a la hermana de Flora, Mrs. Eleanor Swan, ahora una señora mayor, y luego sigue con otras investigaciones en Jummapur pero con escasos resultados. Al mismo tiempo, el hijo de Nirad Das, Anish, reconociendo el retrato realizado por su padre y reproducido en la sobrecubierta del libro Collected Letters of Flora Crew, hace una visita a Doña Swan con otra pintura de Flora realizada siempre por su padre…

Vemos un pasaje extracto de Indian Ink en la parte inicial de la pieza:

Flora: While having tiffin on the verandah of my bungalow I spilled kedgeree on my dungarees and had to go to the gymkhana in my pyjamas looking like a coolie.
Das: I was buying chutney in the bazaar when a thug escaped from the choky and killed a box-wallah for his loot, creating a hullabaloo and landing himself in the mulligatawny.
Flora: I went doolally at the durbar and was sent back to Blighty in a dooley feeling rather dikki with a cup of char and a chit for a chotapeg.
Das: Yes, and the burra sahib who looked so pukka in his topee sent a coolie to the memsahib.
Flora: No, no. You can’t have memsahib and sahib, that’s cheating – and anyway I have already said coolie.
Das: I concede. Miss Crewe. You are the Hobson-Jobson champion!
Flora: You are chivalrous, Mr Das. So, I’ll confess I had help. I found a whole list of Anglo-Indian words in my bedside drawer, for the benefit of travellers.
Das: But I know both languages, so you still win on handicap.
Casi todo el diálogo entre Flora Crewe y Nirad Das da la impresión de que se trata de una especie de juego, una batalla entre ingenios, una conversación cuyo objetivo es intercambiar información por un lado sobre la cultura india y por otro sobre la historia literaria inglesa, o una carrera del uso de las palabras anglo-indias en inglés.

En general los diálogos de Stoppard contienen un sub-texto excepcionalmente denso y complicado que refleja los siguientes cinco criterios específicos del diálogo dramático:

  1. Los diálogos son esencialmente hechos de un lenguaje artificial, una forma especial de discurso, escrito para ser hablado, pero nunca idéntico con el lenguaje hablado ordinario. 
  2. Los diálogos son caracterizados por una interacción de varias perspectivas, que derivan de la interacción simultánea de varios factores y de su efecto en el público.
  3. El lenguaje puede ser visto como una acción potencial en progresión rítmica; el ritmo en ese sentido no se refiere solamente a los modelos de acentuación dentro de la frase sino que implica el ritmo interno a medida que la trama progresa. Esto se aplica también a la estructura del diálogo.
  4. Para los actores las frases se combinan para formar una máscara de la lengua; para ellos la lengua es ante todo un medio para expresar las emociones, a través de la voz, la expresión de la cara, de los gestos y de los movimientos. 
  5. Para el espectador, el idioma y la acción en la escena se perciben como si fueran una experiencia personal: él no es sólo un espectador sino que mira curioso pero desinteresado. Si los eventos de la pieza teatral son convincentes, el espectador debe sentirse implicado y responderles, o con empatía o con alienación. 

El idioma entonces es un instrumento, mensajero de unas tantas cosas que van de la cultura a la historia y que luego influyen en la traducción.

Las palabras de los intérpretes de Indian Ink son registros de las palabras que Stoppard deseaba que se pronunciaran, palabras que surgen como parte de su significado, un significado que hay que analizar, comprender y reproducir a otro idioma. El mérito de Stoppard y su gran éxito a nivel mundial se debe a su humor, sarcasmo e ironía pero seguramente a la compasión que ha mostrado hacia el género humano.

Traducir de por sí no es tarea simple y es aún más compleja cuando se trata de un texto connotado desde el punto de vista cultural. La traducción tiene que ver con la lingüística, con la intertextualidad, con la historia y la literatura. Ánimo a todos los traductores…

Hasta pronto.

Teacher Barbara
0 Comments

El tándem profesor-alumno

5/4/2015

3 Comments

 
Amigos,

Hoy deseo resaltar el rol del estudiante y el profesor durante el proceso de enseñanza-aprendizaje, con un enfoque más centrado en el aprendizaje de idiomas extranjeros. Es un tema que se viene tratando en los últimos tiempos en diversos medios de comunicación y que es de gran preocupación para los estudiantes y padres.

Existen diversas modalidades de aprendizaje, en grupos o individual, pudiendo ser éstas de forma presencial, semi-presencial (Blended Learning o B-Learning) o a distancia (E-Learning). Pero en todas ellas debe crearse un tándem entre el alumno y el profesor para lograr una mayor efectividad en las clases y para que los nuevos conceptos y conocimientos lleguen de forma correcta y duradera a los alumnos.

teacherbarbara.comFuente: midietacojea.com
La capacidad, actitud, conocimientos, exigencia personal, vocación e ilusión del profesor deben estar siempre vivos y en superación para involucrar al alumno y hacerle partícipe del proceso enseñanza-aprendizaje, motivándole en todo momento y atendiéndole en el terreno de lo humano y lo social. El profesor debe evitar en todo momento un escenario que cause desinterés y desmotivación al alumno.

Hace unas pocas décadas el profesor tenía un papel vital en la educación y enseñanza de los alumnos, que unido a la entera colaboración de los padres y el respeto imperante del alumno hacia el profesor, simplificaban su labor como educador y motivador, así como facilitador, gestor y transmisor de conocimientos.

teacherbarbara.comFuente: practicumunav11.wikispaces.com
En los tiempos actuales esta colaboración entre profesor-alumno-padres ha ido perdiendo fuerza, quedando prácticamente el profesor como único responsable de la educación del estudiante y siendo el centro de atención de los pobres resultados del alumno. 

Os dejo una escena que trasmite claramente cómo ha evolucionado en los últimos tiempos la relación profesor-alumno-padres, aunque vale aclarar que la imagen lo muestra de forma caricaturesca y que no siempre este cambio o evolución se manifiesta de tal modo.

Es esencial encontrar el equilibro entre las responsabilidades, derechos y deberes que debe asumir cada parte involucrada en el proceso de enseñanza-aprendizaje para que éste se propicie en el mejor de los escenarios posibles. Por tal motivo, abogo por una comunicación abierta, fluida y constructiva entre estos tres pilares esenciales: profesor, alumno y padres.

Puedo decir que tengo la suerte de trabajar fuera de esquemas o estructuras rígidas de enseñanza y de tener alumnos que cumplen muy bien su cometido. Esto facilita en cierta medida mi función de profesora, educadora, preparadora y language coach como también la de motivar y dar la capacidad y confianza necesarias para que el alumno se atreva a hacer lo que hasta ese momento era incapaz de afrontar. A pesar de estas magníficas condiciones, no puedo escapar de ciertas responsabilidades que suelen encasillar al profesor y que son cardinales para cada alumno.

En el tándem que deben formar el alumno y el profesor confluyen muchas responsabilidades, deberes y obligaciones, del profesor hacia el alumno y viceversa. Es deber del profesor facilitar el aprendizaje del alumno gestionando y transmitiendo de forma clara los nuevos conceptos y conocimientos. Asimismo, el estudiante es responsable de su propio aprendizaje, asumiendo un rol participativo y colaborativo de manera constante.

Como profesor de idioma debo mantener activas nuevas y eficaces formas y/o técnicas de enseñanza, analizando ante todo el perfil del estudiante y construyendo un método específico que le ayude a superar determinadas barreras, ya sean de comunicación, timidez, miedo al ridículo, seguridad y confianza.

Os dejo una escena que me gusta mucho de la película Dead Poets Society (El club de los poetas muertos), donde el profesor de literatura, interpretado por ese gran actor que fue Robin Williams - y aprovecho para rendirle un pequeño homenaje a su trayectoria artística - , utiliza diferentes formas y técnicas para ayudar al alumno a superar esa barrera que le imposibilita mostrar su capacidad interna.


Es primordial que el estudiante, ante todo, quiera aprender ya que nadie podrá hacerlo por él. Además, deberá participar activamente, ganar autonomía y confianza de forma gradual, construyendo de esa forma su propia identidad.

Os recomiendo que no dejéis de trabajar y de esforzaros que la recompensa siempre llega. Vuestro profesor os agradecerá, trabajará más a gusto y conseguirá, junto a vuestro esfuerzo y vuestra dedicación, que también os apasionéis por la lengua extranjera y la sintáis como un hobby más y no como una obligación.

Para terminar, deseo agradecer a todos los alumnos que he tenido durante estos años de profesión por la satisfacción que me han dado y por lo mucho que he aprendido de ellos. Estoy orgullosa de ser profesora, educadora y de haber viajado con ellos en determinadas etapas de sus vidas.

Hasta pronto alumnos.

Teacher Barbara
3 Comments

    LANGUAGE TRANSLATOR



    BARBARA CORDOVA

    Soy traductora, intérprete, lingüista, profesora y apasionada por la música
    ​... Más sobre mí



    +1 demo: Basic page

    Archivos

    January 2017
    October 2015
    September 2015
    July 2015
    June 2015
    May 2015
    April 2015
    March 2015
    February 2015
    January 2015
    December 2014
    November 2014
    October 2014
    September 2014
    August 2014

    Categorías

    All
    APRENDIZAJE IDIOMAS
    COMUNICACIÓN
    CULTURA
    GENERAL
    INGLÉS
    LITERATURA
    METODOLOGÍA
    TRADUCCIÓN
    VIAJES

    RSS Feed

ENGLISH COURSES

- General English Courses
- Cambridge Exam Preparation Courses
- English for Professionals
- English for Business
- English for Companies
- English for Children

- Online English Courses - Skype

FRENCH COURSES

- General French Courses
- DELF/DALF Exam Preparation Courses
- French for Professionals
- French for Companies
- French for Children

- Online French Courses - Skype

ITALIAN COURSES

- General Italian Courses
- CELI Exam Preparation Courses

TEACHERBARBARA.COM

- Home
- About me
- Teaching Approaches
- Translation Services
- TeacherBarbara's blog
- Terms and Conditions
- Contact
​
- Legal

BARBARA CORDOVA

Imagen
I am a translator, an interpreter, a linguist, a teacher and a fan of music. I have a natural capacity for language and linguistic and a true love of words... See more
Contact me via email: 
teacherbarbara.cordova@gmail.com
Picture
Picture
Copyright © 2014 teacherbarbara.com  WANTON TEAM
  • HOME
  • ENGLISH COURSES
    • GENERAL ENGLISH COURSES
    • CAMBRIDGE EXAM PREPARATION COURSES
    • ENGLISH FOR PROFESSIONALS
    • ENGLISH FOR BUSINESS
    • ENGLISH FOR COMPANIES
    • ENGLISH FOR CHILDREN
    • ONLINE ENGLISH COURSES – SKYPE
  • FRENCH COURSE
    • GENERAL FRENCH COURSES
    • DELF DALF EXAM PREPARATION COURSES
    • FRENCH FOR PROFESSIONALS
    • FRENCH FOR COMPANIES
    • FRENCH FOR CHILDREN
    • ONLINE FRENCH COURSES - SKYPE
  • ITALIAN COURSES
    • CELI EXAM PREPARATION COURSES
    • GENERAL ITALIAN COURSES
  • TRANSLATIONS
  • TESTIMONIALS
  • ABOUT ME
    • TEACHING APPROACHES
    • TERMS AND CONDITIONS
    • LEGAL
  • Blog
English Spanish